Myria y plaide pour une interdiction de la détention de mineurs. Celle-ci a un impact particulièrement négatif sur le bien-être psychologique des enfants. En outre, l'accent n'est pas suffisamment mis sur l'élaboration, la mise en œuvre et l'évaluation des alternatives à la détention. Jusqu'à récemment, lorsque les unités familiales fermées existaient encore, il est clairement apparu que le système en cascade, dans lequel les alternatives existantes étaient d'abord testées, n'était pas toujours suivi. Les familles séjournaient aussi longuement dans les unités fermées. Enfin, Myria souligne également dans son avis l'importance du maintien de l'unité familiale.