Dans le code de l’Immigration que le gouvernement souhaite élaborer, Myria recommande de prévoir une disposition transversale qui oblige tant l’administration que les juridictions à prendre en considération de manière primordiale l’intérêt de l’enfant dans toutes les procédures qui le concernent et à entendre le point de vue des enfants qui ont l’âge de discernement avant toute décision qui les concerne.