Myria recommande, à l’exemple de la procédure d’asile, d’appliquer le bénéficie du doute et un niveau de preuve revu à la baisse aux procédures de regroupement familial avec des bénéficiaires d’une protection internationale. Pour ce niveau de preuve, estimer suffisant que ces aspects soient rendus « crédibles » et « vraisemblables », plutôt que d’exiger une preuve absolue. Et ce, tant lors de l’évaluation de l’impossibilité d’obtenir des documents (qui devrait dans certains cas être considérée comme ’supposée’), que lors de l’évaluation du lien familial lui-même.
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