Dans cette affaire, il était question de trafic organisé d'êtres humains au sein du milieu indien et irako-kurde. L'enquête a commencé après l'interception de plusieurs Indiens à hauteur du parking de Grand-Bigard et a mené à une organisation indienne qui arrangeait des transports pour des personnes sans droit de séjour vers le Royaume-Uni. Les transports étaient principalement organisés « avec garantie ».

La cour a globalement confirmé le jugement rendu en première instance par le tribunal correctionnel de Bruxelles le 6 novembre 2013 mais a adouci la peine de certains prévenus, notamment en prononçant des peines d’emprisonnement avec sursis.